Immobilier

Les limites de la SCI : ce qu’il faut savoir

Pour faire d’importants profits dans le secteur immobilier, la SCI constitue une alternative des plus attrayantes. Étant donné que fonder ce genre d’organisme permet d’acquérir de multiples patrimoines immobiliers en même temps. De plus, lorsqu’il y a des travaux à réaliser, ce type d’association donne la possibilité de faciliter le financement de l’opération. Tous les membres devront notamment souscrire une assurance dommage ouvrage

Le dommage ouvrage pour la SCI

Si vous souhaitez un avenir radieux dans le domaine de l’immobilier, la SCI constitue l’un des meilleurs moyens d’y parvenir. En effet, vous pourrez profiter d’une source de revenu relativement stable pendant des dizaines d’années. Or, le financement des entretiens et des travaux à effectuer sur les biens est généralement partagé. Et d’après Le Magazine de la SCI, l’association elle-même peut contracter une assurance dommage ouvrage. Cette dernière servant principalement ici à protéger le patrimoine en cas de vice ou de malfaçons.

En fait, la SCI doit souscrire ce type de couverture, car la plupart des propriétés de cette organisation sont essentiellement constituées de bâtiment ou de logement. Alors, en cas de dommage, la société ne sera pas forcée de puiser dans la trésorerie pour financer les réparations. De plus, l’avantage avec cette garantie, c’est qu’elle donne la possibilité de bénéficier d’un fonds très rapidement.

Les charges couvertes par le dommage ouvrage

En contractant une assurance dommage ouvrage, les membres de la SCI anticiperont les dépenses liées à certains dommages. Parmi ces derniers figure notamment l’apparition de fissures impactant la solidité du bâtiment. En dehors de cela, ce type de couverture s’applique lorsque l’œuvre reçue est impropre à sa destination. C’est-à-dire que le bien immobilier est inutilisable, car il est de très mauvaise qualité.